Lavie Ă©ternelle, la communion des saints, la priĂšre et les sacrements, sont des dons que le Christ nous a faits, et qui nous laissent espĂ©rer que la vie ne s’arrĂȘte pas avec la mort. Le jour de notre baptĂȘme, le Christ nous a ouvert les portes de la RĂ©surrection. Nous sommes donc dĂ©jĂ , aussi vivants sommes-nous, dans la vie Ă©ternelle. Cet Ă©tat de fait entraĂźne Lapromesse divine du rĂšgne de mille ans de JĂ©sus-Christ sur Terre symbolise l’espoir pour l’humanitĂ© tout entiĂšre. En Ă©tudiant les Saintes Écritures et en examinant les efforts visant Ă  renverser cet enseignement, nous comprenons mieux notre monde et la promesse de paix associĂ©e au Royaume de Dieu. « Le loup habitera avec l'agneau 80caches sont disposĂ©es sur le Pays de Saint-Omer et le Pays de Lumbres. Un petit pot, une boĂźte en fer, un nichoir Ă  oiseaux Autant d’objets Ă  dĂ©couvrir au cours d’une grande chasse aux trĂ©sors ludique, Ă  l’aide du GPS de votre smartphone. Sur chaque site, vous dĂ©couvrirez un logbook et vous pourrez indiquer votre passage. L’application vous permettra aussi de Vay Tiền Nhanh. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Film chinois de Yang Chao avec Geng Le, Chang Jieping. 1 h 52. La grisaille hostile de la Chine dans de longs plans-sĂ©quences, des cadres splendides oĂč se dĂ©coupent deux jeunes gens perdus, un montage elliptique l'ombre de Jia Zhang Ke plane sur Passages, le premier film de Yang Chao, mais ne lui ĂŽte pas sa singularitĂ©. Celle-ci tient surtout Ă  un duo central, un couple de lycĂ©ens qui ne savent pas comment se construire un avenir. Aller Ă  l'universitĂ© ? Tenter sa chance dans le capitalisme artisanal en investissant dans une plante rare ? La fille commence par suivre le garçon, au sens des rĂ©alitĂ©s plus aiguisĂ©. Puis elle prend les devants pour l'entraĂźner dans une vie dont il n'est pas sĂ»r de vouloir. EmbĂ»ches, dĂ©sillusions, escroqueries, autant de cartes postales de la Chine actuelle se dresseront sur le chemin de leur apprentissage. Partis pour fuir la violence, ils y enterreront leurs illusions. Isabelle Regnier Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. 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International Inde 72 ans aprĂšs la partition, et aprĂšs des mois de discussions, les deux pays ennemis inaugurent un pont qui permettra aux sikhs d’accĂ©der Ă  un de leurs lieux saints. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Il n’y aura pas de poignĂ©e de mains entre Narendra Modi et Imran Khan, mais pour la premiĂšre fois depuis l’indĂ©pendance l’Inde et le Pakistan ont bĂąti un pont entre eux. Les dirigeants des deux pays ennemis doivent inaugurer sĂ©parĂ©ment, samedi 9 novembre, le corridor de Kartarpur qui va permettre de connecter deux lieux saints du sikhisme, Gurdwara Nankana Sahib, au Pendjab pakistanais, qui abrite le mausolĂ©e du fondateur de cette religion, le gourou Nanak, et Dera Darbar Sahib au Pendjab indien. VoilĂ  72 ans que les pĂšlerins Sikhs attendaient cet Ă©vĂšnement. C’est un peu une rĂ©paration de l’histoire. Le Pendjab avait Ă©tĂ© coupĂ© en deux par les Britanniques, au moment de la partition de 1947. Seulement 20 000 Sikhs vivent au Pakistan, mais 21 millions en Inde, dont 80 % au Pendjab. 5 000 fidĂšles par jour Le projet du corridor vers Kartarpur Ă©tait rĂ©clamĂ© de longue date par New Delhi mais avait Ă©tĂ© bloquĂ© par des annĂ©es de froid diplomatique entre les deux voisins qui se sont livrĂ©s trois guerres, notamment autour du territoire disputĂ© du Cachemire. AprĂšs des mois de discussions les deux pays ont signĂ©, le 24 octobre, un accord sur les modalitĂ©s opĂ©rationnelles du corridor long de 4,2 kilomĂštres. Le site du mausolĂ©e a Ă©tĂ© agrandi et amĂ©nagĂ© avec un point de contrĂŽle de l’immigration et un nouveau pont a Ă©tĂ© bĂąti. Depuis l’indĂ©pendance, trĂšs peu de Sikhs avaient eu la possibilitĂ© de se rendre Ă  Kartarpur. 5 000 fidĂšles pourront dĂ©sormais emprunter chaque jour le passage, avec un simple passeport, sans obligation de demander un visa. Le moment est d’autant plus important que le 12 novembre, les sikhs cĂ©lĂ©breront le 550e anniversaire de la naissance du gourou Nanak. NĂ© en 1469, prĂšs de Lahore, Nanak a voyagĂ© durant 20 ans avant de fonder au Pendjab une religion qui aspirait Ă  dĂ©passer l’hindouisme et l’islam. Il dĂ©livra Ă  ses fidĂšles un message de tolĂ©rance, de paix et d’égalitĂ© entre les hommes. CommunautĂ© Sikh influente Narendra Modi doit saluer les pĂšlerins Ă  leur dĂ©part d’Inde, avant le franchissement de la frontiĂšre, tandis qu’Imran Khan doit les accueillir Ă  leur arrivĂ©e au mausolĂ©e. Parmi les pĂšlerins, l’ancien premier ministre indien Manmohan Singh, lui-mĂȘme sikh. Je voudrais remercier le premier ministre du Pakistan Imran Khan pour son respect des sentiments de l’Inde. Je le remercie pour sa coopĂ©ration », a affirmĂ© Narendra Modi samedi, lors d’un discours dans la ville de Dera Baba Nanak peu avant l’ouverture prĂ©vue du corridor. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Dimanche, tard dans la soirĂ©e, aprĂšs une nouvelle journĂ©e Ă©puisante, dans la nuit froide de JĂ©rusalem, devait avoir lieu la rencontre historique entre le Pape et le patriarche AthĂ©nagoras, accueilli Ă  la grille de la dĂ©lĂ©gation apostolique par trois cardinaux, tandis que le Pape l’attendait sur le perron. Le Pape et le Patriarche se donnĂšrent une accolade fraternelle sur le seuil de la porte, au-dessus de laquelle est gravĂ©e l'inscription Domus Dei et porta coeli. Ensuite devait se dĂ©rouler un tĂȘte-Ă -tĂȘte d'environ cinq minutes. AprĂšs les Ă©vĂ©nements religieux des deux jours prĂ©cĂ©dents, chacun espĂ©rait l'effusion de la grĂące de l'Esprit sur l'entretien des deux chefs d'Église, humbles pĂšlerins des Lieux Saints, suivant les pas du Christ, unique MĂ©diateur et tĂȘte invisible de l' furent introduites les deux suites du Pape et du Patriarche. Et, devant cette assemblĂ©e, lecture fut donnĂ©e, en grec et en latin, du chapitre 17 de l’Evangile de saint Jean, rapportant la priĂšre du Christ Ă  la veille de sa Passion qu'ils soient un. Tous, ensuite, rĂ©citĂšrent ensemble le Pater. Je suis prĂȘt Ă  aller Ă  Rome, m’avait dit le patriarche AthĂ©nagoras, le 6 aoĂ»t 1959. Le Pape est le premier Ă©vĂȘque de l'Église du Christ, il est dans l'ordre que le deuxiĂšme voie le premier, Ă  condition qu'Ă  la main tendue rĂ©pondent des bras ouverts. » Quelle parole, me suis-je dit alors, et quel patriarche, dans le passĂ©, parla jamais ainsi ? Oui, poursuivit le patriarche AthĂ©nagoras, nous vivons une Ăšre cosmogonique, un monde nouveau naĂźt. Malheur aux chefs des Églises s'ils ne voient pas les signes des temps. »AthĂ©nagoras resta attentif aux signes que furent le pontificat de Jean XXIII, le Concile, le pĂšlerinage de Paul VI, sans oublier la rencontre panorthodoxe de Rhodes et le dĂ©veloppement du Conseil ƓcumĂ©nique des rencontre dĂ©sirĂ©e se rĂ©alise aujourd’hui. Elle n'a pas lieu Ă  Rome, mais Ă  JĂ©rusalem, pour signifier que l'unitĂ© sera non l'absorption d’une Église par une autre, mais un retour au Christ, dont la prĂ©sence est ici plus sensible que partout qui se proclame tĂȘte et mĂšre de toutes les Églises, en vertu de la primautĂ© de Pierre, vient vĂ©nĂ©rer l’antique Église de JĂ©rusalem, que les catĂ©chismes orthodoxes appellent Ă©galement mĂšre de toutes les Églises. JĂ©rusalem l'est, en vĂ©ritĂ©, et elle eut longtemps Pierre pour chef, avec le CollĂšge des matin, le Pape devait rendre sa visite au patriarche AthĂ©nagoras selon le mĂȘme cĂ©rĂ©monial. Il sera accueilli par trois mĂ©tropolites Ă  l’entrĂ©e de la rĂ©sidence du patriarche Benedictos au mont des Oliviers, tandis qu'AthĂ©nagoras l'attendra Ă  la Ă©vĂ©nements constituent l’aboutissement de la volontĂ© tenace du patriarche AthĂ©nagoras, qui sut convaincre et rallier toutes les Églises orthodoxes, et trouva chez Paul VI la vĂ©nĂ©ration et l'estime des Églises orientales plus grande que jamais dans le passĂ©. La rencontre Rome-Constantinople est un rappel de la communion qui exista dans le passĂ© et se renouvelle dans le prĂ©sent par la priĂšre et la charitĂ©. Les tĂ©moins de l'Ă©vĂ©nement ont senti le passage de vĂ©ritĂ©, une Ăšre nouvelle a commencĂ©. JĂ©rusalem en fut le théùtre, pour bien montrer que la fidĂ©litĂ© au Christ est source de tous biens, et que seule une parfaite obĂ©issance Ă  l’Evangile amĂšnera la consommation de l'UnitĂ©.

le monde attend le passage des saints